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En cette fin d'année, le blog du Claimm fait peau neuve !
Les rubriques ont été modifiées, n'hésitez pas à y faire un tour !
A l'année prochaine !
Aurore pour le Claimm
Source : Gerd Altmann(Pixabey)
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Par CLAIMM le 1 Avril 2018 à 18:01
Le duduk : cousin du hautbois, cet instrument à anche double accompagne depuis des millénaires les chants et les danses traditionnels arméniens. Il se caractérise par un son gorgé de soleil et de douceur, tel un abricot et pour cause : les luthiers le façonnent dans le bois d'abricotier.
Le duduk a aussi fait sa place dans le monde du cinéma, inspirant des compositeurs tels que Hans Zimmer, Armand Amar (Gladiator, La source des femmes, Le monde de Narnia pour ne citer que ceux-là).
Je vous propose un voyage musical en Arménie, un duo duduk / accordéon, avec Carole et Elsa du groupe Mahaleb.
Belle écoute à vous !
Aurore
Le Claimm
https://www.youtube.com/watch?v=FLNRwU2M4-w
Par CLAIMM le 27 Février 2017 à 22:46
Prochainement, le Claimm agrandira sa collection d'instruments avec un piano à pouces, que l'on nomme également Kalimba. Cet instrument, originaire d'Afrique, est fait de lames. Fabriquées en bambou, puis en métal, elles sont posées sur une caisse de résonance, souvent en bois. Cet instrument est sans aucun doute l'un des préférés des conteurs. Lorsque les lames d'une kalimba résonnent, c'est un retour à l'enfance, un instant de détente. Il se pourrait d'ailleurs que ce soit le plus vieil instrument du monde, car pour la petite histoire...
Une légende* raconte qu'au son de la kalimba, les arbres poussèrent, les oiseaux chantèrent et lorsqu’une note bien particulière se produisit, elle fit apparaitre l'Homme comme par magie !
*source : desmusiquespourguerir.com
https://www.youtube.com/watch?v=Hh0HdstXNdk
Par Max88 le 1 Juin 2014 à 19:39
Le cajón est un instrument en bois, une caisse parallélépipédique dont les dimensions sont environ de 30/30/50 (largeur/profondeur/hauteur).
Au dos se situe un évent, un trou d'environ 10 cm de diamètre qui permet l'échappement du son et la résonance.
On en joue en général assis dessus, sauf pour certains cajons cubains de forme trapezoidale que l’on place entre les jambes à la manière des congas ou d'autres percussions qui sont plus basses et de forme rectangulaire.
On joue du cajon en frappant, avec les mains, sur la plaque avant qui est plus fine.
Lorsque l'on frappe la plaque sur le haut on obtient des tons aigus et un son claquant. Il faut descendre vers le centre pour obtenir les tons grave.
Dans les cajon flamenco, derrière et contre cette plaque de frappe fine, sont tendus, par différentes dispositions, des “timbres” divers selon les modèles. Ce sont des dispositifs qui modifient le son de l’instrument (des tambours, des cordes de guitare). On y trouve même parfois des clochettes.
Les Cajons péruviens et cubains sont eux traditionnellement faits et joués sans timbres.
Le cajon est un instrument délicieusement polyvalent. Il a su se diversifier, s'adapter et toucher de nombreux styles musicaux de la musique péruvienne, cubaine, espagnole, aux artistes et styles contemporains comme la pop, la folk, la drum'n'bass, le blues, le rock,... Depuis peu se développent également de nouvelles possibilités techniques pour cet instrument. On peut le jouer en y ajoutant une pédale, des « side-kick », on peut le jouer avec des balais, l'intégrer dans un set de batterie, le jouer accompagné de cymbales, cloches,... Il est en perpétuelle évolution !
BREVE HISTOIRE
Le nom vient de l'espagnol et veut dire « caisse ».
Cet instrument tire son origine dans la traite des noirs en Amérique latine. On en trouve les premières traces au Pérou puis à Cuba. Les datations ne concordent pas dans tous les sites que j'ai pu visiter, elles vont du 16° siècle au début du 19°. le seul repère historique fiable est donc la période de la traite des noires.
Il fut pour cette communauté le substitut de leurs tambours traditionnels africains accompagnant leurs danses et leurs chants traditionnels comme Lundu ou Zana. Leurs rites et danses furent interdits par les autorités catholiques et royales administrant ces territoires à l'époque. Le but était d'éviter les communications, de prévenir toute révolte et de museler leur identité africaine.
Les premiers cajons étaient des caisses en bois vraisemblablement destinées à transporter des denrées marchandes ou servant à la cueillette des fruits. On déclouait une des planches pour obtenir résonance et vibration. L'instrument a métissé aisni les musiques africaines indiennes et hispaniques.
Le Cajon s'est profondément intégré à la culture et à la musique du Pérou et de Cuba plus tard. Le poète péruvien Nicomedes Santa Cruz le nommait "sa majesté El Cajon !"
Voici quelques exemples de cajeonadores connus (c'est ainsi que l'on nomme les joueurs de cajon au Pérou) :
Julio « chocolate » Algendores, Eusébio « pititi » Sirio, Juan « Cotito » Medrano, Caito Sotro.
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=Act_Hh-nTQk&feature=emb_logo
Juan « Cotito » Medrano :
https://www.youtube.com/watch?v=Us9pDW_o7Bw&t=1s
Caitro Soto :
https://www.youtube.com/watch?v=JsxxDcf0hzE&feature=emb_logo
Le cajon péruvien est typiquement joué et fabriqué sans timbres derrière la plaque de frappe. Il en est de même pour le cajon cubain. On retrouve aussi le Cajon dans la musique cubaine, notamment par les rythmes Rumba. C'est un instrument qui n'a jamais cessé d'évoluer tant dans sa facture que dans la diversité de styles auxquels il s'adapte. A Cuba dans les années 50, Pancho Quinto, crée un cajon rectangulaire, plus large que le péruvien. Il en crée aussi d'autres se jouant entre les jambes comme les congas, de forme trapezoidale. L'absence de timbre rappelle également les congas du point de vue du son.
Le Cajon a ensuite touché le flamenco, leur liaison a connu un succès immédiat. On attribue cette intégration de l'instrument dans le style espagnol à Paco de Lucia qui joua avec le percussioniste brésilien Rubem Dantas et le danseur espagnol Manuel Soler. Le Cajon flamenco est différent car des timbres de tambours, cordes de guitare, clochettes sont rajoutés derrière la plaque de frappe de l'instrument, ce qui donne ce son typique rappelant celui de la caisse claire.
Article rédigé par Nathan, notre cajoniste.
Le CLAIMM.
Par CLAIMM le 30 Décembre 2013 à 13:59
Apprenez en plus sur le OUD grâce à notre Claimmiste joueurs de OUD. C'est ici que ça se passe : Le OUD VU PAR Un CLAIMMISTE. Parcourrez les sous rubriques pour savoir tout ce qu'il y a besoin de savoir sur l'instrument.
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En partenariat avec l’association Amici Miei
Un grand merci pour cette journée de partage musical.
Au plaisir de partager à nouveau un moment musical ensemble.
Un grand merci à Rémi, François et Thérèse pour leur accueil.
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Notre association s'unit à l'Association AMICI MIEI pour un concert de Noël à la mairie de Saint-Avold le 10 décembre 2022
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En vacances dans le Sud, j’ai découvert les Comrades. Quelques guitares, un violon, un tin whistle, une batterie, un villean pipe, un harmonica, un banjo, et nous voilà embarqués dans l’univers irlandais, avec ses pubs et ses paysages verdoyants. Si vous aussi vous avez eu la chance de découvrir ce coin du monde, vous saurez de quoi je parle. Des musiques de leur invention, en passant par quelques grands classiques (dont « Dirty old town », que nous aimons jouer aussi au Claimm), les Comrades m’ont embarquée dans leur univers. J’ai aussi aimé leurs clins d’œil au rock et au country, en me lançant d’ailleurs dans quelques pas de Madison ! Mention spéciale pour Galicia, où le rythme flamenco s’invite dans cet univers celtique. Assez de blablas, je vous laisse en leur compagnie.
Belle écoute à vous !
Aurore, pour le Claimm
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